|
|
|
Ayant fait des programmes japonais un bouc émissaire commode pour tous les problèmes liés aux enfants, elle fût au centre de la lutte contre les dessins animés japonais, aux côtés de l'hebdomadaire Télérama , du président du CSA de l'époque Hervé Bourges (qui les qualifiait de "japoniaiseries") et d'associations. Finalement, la mauvaise image que ceux-ci parvinrent à donner à l'animation japonaise fût l'une des justifications à la fin de l'émission Club Dorothée en 1997. Depuis, les dessins animés japonais sont toujours difficilement représentés à la télévision française, en dépit de leurs qualités. En outre, ils continuent de trainer les préjugés caricaturaux créés par ceux qui les ont attaqués au début des années 1990. Aujourd'hui, Ségolène Royal continue de croire que la défense de la famille passe par la censure stricte des programmes, et garde une image du Japon bien éloignée de la réalité. Mais désormais, elle souhaite devenir Présidente de la République Française. Il n'est donc pas inutile de se rappeler ses faits d'arme passés. Pour cela, il est intéressant de se plonger dans la lecture de son livre. Celui-ci n'étant plus édité de nos jours, des extraits sont présentés ici. Pour les consulter, visitez le menu de gauche. Les titres, les images, les mises en gras et les analyses ne sont pas d'origine dans le livre. Ce site est le fruit d'une initiative personnelle d'information et n'est pas issu d'un quelconque parti politique. Pour toute précision à apporter, conseils ou commentaires, écrivez à xerbias [at] free.fr |