Ce blog compte désormais environ 600 billets. Comme à chaque centaine, je parle de ce blog, cela veut dire que je n'évoque pas un thème plus intéressant. Pour compenser les six billets sans vrai fond qui en résultent (celui-là compris), je remets en avant six anciens billets représentatifs de ce que l'on peut trouver ici. Ils sont présentés par ordre chronologique :
  • De l'intégration et du multiculturalisme : 1607 mots pour le premier billet du blog, où j'expose ma préférence pour l'assimilation des minorités. Plus de cinq ans après, je n'ai absolument pas changé d'opinion sur cette question, qui reste complètement d'actualité.
  • Analyse politique et économique de la société des Schtroumpfs : un billet qui m'a valu d'être (mal) cité dans un mémoire de DEA. On y découvre que le communisme ne peut fonctionner que dans des petits villages de lutins imaginaires.
  • Service maximum ! : il faudra bien qu'un jour un gouvernement mette fin à l'enfer quotidien que représente la gréviculture pour les usagers des transports en commun.
  • Une nation européenne ? : certes, la nation européenne n'existe pas pour l'instant, mais les peuples européens ont intérêt à se découvrir une communauté de destin.
  • Euro, Nutella et petit déjeuner : l'euro a-t-il provoqué une flambée des prix pour les consommateurs ? Eh bien pas tant que ça en fait.
  • Le cercle de la politique : où il est expliqué que les extrêmes se rejoignent et que l'extrême gauche et l'extrême droite ne valent pas mieux l'une que l'autre. Visiblement, ce n'est pas encore évident pour tout le monde.
Voilà pour le regard vers le passé. Pour ce qui est de l'avenir, je vais essayer d'être constructif au moment où les programmes des partis se construisent dans le cadre de la prochaine présidentielle. Cela se traduira par la publication, d'ici l'été, de mon propre programme présidentiel ! J'ai déjà une liste de plusieurs dizaines de propositions. Evidemment, j'espère que d'autres citoyens/blogueurs suivront la même démarche, et posent sur la table leurs propres propositions concrètes. Car il faut bien se rappeler que la politique n'est pas une affaire de politiciens, mais de citoyens...