Réflexions en cours

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mardi 30 mai 2006

Casseurs ethniques

Dimanche dernier, rue des rosiers à Paris, une bande d'une trentaine d'hommes est venue avec une attitude hostile, en cherchant explicitement la bagarre avec la LDJ. Ils se présentèrent comme appartenant à un groupuscule sectaire prônant la suprématie des noirs et leur domination à venir sur le monde, et ils accusaient la LDJ d'avoir agressé des noirs. Ils voulaient donc faire une démonstration de force en provoquant des combats de rue. En dehors même du discours fondamentalement raciste que ce groupuscule véhicule, il reste l'existence d'une milice ethnique qui ne peut qu'inquiéter. Inutile de citer ici cette organisation, ce serait faire de la publicité pour elle, et c'est ce que ces membres recherchent. Il y a d'ailleurs d'autres organisations du même type, au service d'ethnies différentes : il y a par exemple celles qui sont liées au FN, ou encore la LDJ, à la doctrine très peu pacifiste. Evidemment, dans chacun dans ces cas, ces actions sont condamnées par ceux qu'elles sont censées protégées. Il n'y a aucun doute sur la volonté de vivre ensemble de chacune des composantes de la France. Malheureusement, on retrouve toujours des minorités d'excités racistes qui souhaitent la guérilla urbaine pour faire valoir leurs sombres vues.

Aucun acte délictueux ne peut être toléré. On ne peut admettre que des bandes usent de la violence et fassent régner la violence pour un oui ou pour un non, voire pour aucune raison. La nuit dernière, une émeute a éclaté à Montfermeil, rappelant celles de novembre dernier. Durant ces tristes nuits, de nombreuses bandes avaient attaqué des édifices publics et les locaux d'entreprises, brûlé des voitures et des écoles, agressé des passants innocents, et affronté les forces de l'ordre. A la suite de ces événements, on a vu surgir toute sorte de sociologues, d'homme politiques ou de membres d'associations aveuglés par leur naïveté. Ils tentèrent de justifier ces émeutes, en évoquant pèle mêle la mort de deux adolescents qui avaient pris la décision incompréhensible de fuir dans un transformateur électrique, les propos tenus par le Ministre de l'Intérieur, ou bien la condition sociale des émeutiers.

Il faut répondre deux choses. Premièrement, les émeutiers ne se souciaient aucunement des retombées politiques de leurs actes, puisque ceux-ci répondaient au seul impératif de nuisance envers la société. Aucune revendication, aucun slogan n'a agrémenté ce que certains ont perçu comme une "lutte", au contraire de ce qui s'est passé lors de mai 1968. Aucun sentiment de classe non plus, puisque ce qu'ils détruisaient étaient les voitures de leurs voisins, l'école qui permet à leurs petits frères de grandir, les bus qui leur permettent de se déplacer. Seul prévaut l'envie de faire du mal, de faire comme les plus forcenés d'entre eux et de soulager leur ennui par la destruction. Deuxièmement, même s'ils avaient eu des motifs de mécontentement, rien ne justifie de mettre à feu et à sang le pays lorsque celui ci est démocratique. On peut imaginer des révolutions populaires pour instaurer la démocratie, mais si celle-ci est en place, elle doit s'appliquer : si un problème se pose, les pouvoirs publics doivent s'en occuper. S'ils ne sont pas jugé efficaces, il est possible de les changer lors des élections. Dans ce cadre, on ne peut admettre l'usage de la violence, là où le bulletin de vote suffit. Mais ceux qui aiment détruire ne vont pas voter, car ils n'ont absolument aucune notion de citoyenneté. Il est certes bien triste d'imaginer la façon dont vivent ceux qui n'ont aucune morale. Il ne doit jamais être trop tard pour les remettre sur le bon chemin. Néanmoins, chacun doit comprendre que le dialogue n'est pas possible dans la violence. Ceux qui la commettent doivent être punis, car la force doit rester à la disposition de l'autorité publique.

Vivre ensemble n'est pas toujours facile, et les différences d'opinions sont souvent sujettes à affrontements. Les bases de notre système démocratique reposent sur la participation de chacun et le dialogue, ce que la violence exclue. Il est donc nécessaire qu'elle soit punie en tous cas, quelles que soient les excuses qu'on peut lui donner.

samedi 27 mai 2006

Pas d'amnistie pour les hommes politiques

Le climat est morose à l'Elysée, Jacques Chirac parait ces derniers temps comme un homme abattu, qui a du mal à se remettre de l'échec du référendum européen, et ce d'autant plus que les malheurs de son Premier ministre l'ont affaibli lui aussi. Le champ des pouvoirs du Président de la République est limité, il est d'autant plus observé lorsqu'il les utilise. Amnistier Guy Drut, ancien champion olympique du 110 mètres haies et ancien ministre des sports également, pouvait difficilement ne pas passer pour une faute. Guy Drut avait été condamné dans une obscure affaire d'emploi fictif à une peine de prison avec sursis. C'était gênant pour le Comité International Olympique, qui l'a suspendu pour des motifs éthiques.

Mais il ne faut pas oublier que Guy Drut n'a pas été condamné pour ses activités sportives, il l'a été dans le cadre des positions influentes qu'il occupe. Le fait qu'il soit député depuis 1986 fait de lui un pur homme politique. C'est donc un homme politique qu'on amnistie en invoquant une gloire éphémère acquise il y a trente ans. C'est aussi un proche du Président que celui-ci sort deus ex machina des ennuis judiciaires. Il est alors évident que cette décision est déplorable, car elle ne fera que donner l'impression aux Français que les politiciens sont au-dessus de la justice, en profitant de lois qu'ils ont votées dans leur propre intérêt. L'amendement visant à faire rentrer les sportifs dans le cadre des grâces présidentielles a été en effet voté en début de législature par les députés actuels, dont Guy Drut, son premier bénéficiaire. Rien que ça aurait du dissuader le Président de le faire. C'est donc une catastrophique éthique qui a eu lieu, et les motifs visant à l'expliquer sont d'autant plus navrants.

L'idée était de pouvoir faire rentrer à nouveau Guy Drut au sein du CIO pour assurer l'influence de la France au sein de cet organisme. Cela parait amusant, au vu de l'échec infligé à la candidature française l'été dernier... qui a été expliquée déjà par le manque d'influence. Il n'est plus question de présenter de candidature française désormais, étant donné qu'il semble établi que le CIO est déterminé à ne pas organiser les Jeux Olympiques en France, au vu des plusieurs refus successifs essuyés par elle. Et si le but est de garder trois français au CIO, rien n'interdisait de faire remplacer Guy Drut par un autre ancien champion olympique. L'amnistie n'avait donc aucune pertinence.

Il est intéressant au passage de voir ô combien le CIO veut avoir une façade d'organisme reposant sur de fortes bases éthiques, alors que les désignations d'Atlanta, Salt Lake City et Londres ont été le résultat au mieux de lobbyings puissants et malsains, au pire de corruption. Toute cette affaire est donc une double tartufferie : d'une part de la part de Jacques Chirac, de l'autre de la part du CIO.

dimanche 21 mai 2006

Sur la peine de mort

Un adolescent a été tué à coup de machette parce qu'il n'avait pas donné de cigarette à un passant. Le meurtrier a été condamné à 25 ans de prison ferme, dont les deux tiers sont incompressibles. Cela a provoqué la colère des proches de la victime, qui n'a pas compris pourquoi il devrait y avoir une quelconque clémence de la part du tribunal par rapport à la perpétuité demandée par le procureur. Les morts violentes récentes et consécutives de deux jeunes enfants ont également suscité l'émoi. A chaque fois, il est demandé à ce que cela ne se passe plus jamais.

Le Front National cherche à profiter de la douleur des proches des victimes et de l'émotion générée dans la population par des faits-divers aussi atroces en faisant campagne pour l'un de leurs chevaux de bataille, le rétablissement de la peine de mort. Il est infâme de vouloir capitaliser sur la douleur d'autrui, et en l'occurrence, la peine de mort ne représente en aucun cas une solution. En effet, il ne fait que jouer sur un réflexe de vengeance qui ne soulage jamais la victime ou ses proches. Et ce n'est pas la mort du coupable qui va alléger leur peine, ou sinon ce serait bien facile. Il importe que les coupables soient punis pour plusieurs raisons : en premier lieu, établir le fait qu'il y a une justice, et que l'innocent qui a été victime d'un crime est reconnu en cet état, et que le coupable est mis au ban de la société. Il en découle la punition, d'abord pour que le coupable souffre en retour des actes qu'il a commis, ensuite pour dissuader d'éventuels criminels en puissance en les effrayant vis à vis des conséquences qu'auraient leurs actes sur leur propre personne. Enfin, il convient de protéger la société des personnes dangereuses en en les éloignant, tant qu'elles restent dans des dispositions malveillantes.

Les partisans de la peine de mort s'inscrivent dans cette démarche, mais ils oublient deux choses. D'une part, il existe malheureusement un risque d'erreur dans chaque système judiciaire, les exemples en sont nombreux, il suffit de s'en référer à la récente affaire d'Outreau pour cela. Dès lors, comment peut-il y avoir une peine aussi définitive que la mort, alors qu'il est souvent difficile de prouver absolument la culpabilité de quelqu'un ? Les jurés doivent s'en référer à leur intime conviction pour prendre une décision, mais cela parait assez léger dans les situations de non-retour engendrées par la condamnation à mort. Or on ne peut admettre de la justice qu'elle commette des injustices qui ne peuvent être réparées d'aucune manière. La condamnation à la prison permet de rouvrir un dossier, de faire un nouveau procès si un élément troublant fait son apparition, et éventuellement une réhabilitation et des réparations peuvent être possibles en cas d'erreur. Il y a certes du temps perdu, et le condamné à tort perd déjà quelque chose de précieux, mais il garde au moins la vie. En cas de peine capitale, nulle résurrection possible. C'est donc un risque que l'on ne peut pas se permettre de prendre.

Ensuite, et en mettant de côté le risque d'erreur judiciaire, le coupable condamné à mort s'en sort lui finalement facilement : la mort n'est l'affaire que d'un instant, ce n'est pas lui le plus touché par sa propre mort, mais ses éventuels proches. Le principe de proportionnalité de la punition serait beaucoup mieux respecté si la réclusion criminelle à perpétuité était vraiment à vie. Actuellement, il s'agit seulement d'une peine de prison de 35 ans, où les remises de peines peuvent jouer. Nous avons vu avec la condamnation de Zacarias Moussaoui qu'aux Etats-Unis, il existe une condamnation à perpétuité où le coupable est véritablement enfermé jusqu'à la fin de ses jours, dans des prisons où il n'y a pas un grand souci de son épanouissement personnel. C'est une catégorie de peine qui serait beaucoup plus opportune à défendre, car la condamnation à vie aurait une véritable signification. Cette peine est plus contraignante pour un criminel, car elle oblige le coupable à vivre avec la conséquence de ses actes et à souffrir de la privation de sa liberté jusqu'à sa mort. La société est également sûre d'être protégée d'une personne nuisible. Et s'il y a erreur judiciaire, il est encore possible de libérer l'éventuel innocent, et de tenter de le rétablir dans sa vie précédente.

Lorsque la peine de mort a été abolie, cela avait été fait contre l'avis de la majorité de la population. Elle peut encore être envisageable lors de situations exceptionnelles, qui pourraient se limiter aux périodes de guerre, mais elle ne convient pas aux temps de paix. Ceux qui veulent une justice moins clémente peuvent souhaiter une véritable peine d'emprisonnement à perpétuité, mais pas la peine de mort, injuste dans la peine et trop risquée.

jeudi 11 mai 2006

Nos ancêtres les Gaulois

Le débat actuel sur la nouvelle loi limitant l'immigration pose à nouveau de ce que la France veut faire de ses immigrés. Pour ceux qui désirent avoir la nationalité française, il faut souhaiter qu'ils le deviennent pleinement, ou ne le soient pas du tout. C'est pour cela qu'il faut prôner l'assimilation des populations immigrées, pour qu'elles deviennent françaises à tout point de vue. C'est ce qui fait l'immigration réussie.

Le succès de l'extrême droite, sur les questions d'immigration repose sur le racisme et la xénophobie. Distinguons les deux : le raciste considère que par nature, il existe des différences entre tel ou tel groupe ethnique, et que le leur est supérieur aux autres. Autant le dire tout de suite, inutile de raisonner cette espèce là, qui ne repose sur rien, mis à part l'arrogance. Le xénophobe, lui, est simplement un être peureux. Il déteste l'impression de ne "plus être chez lui", en fait de croire qu'il n'a pas la contrôle des changements qu'il s'opère autour de lui, et ceux apportés par l'arrivée de populations perçues comme étrangères peuvent ne pas être les moindres. Dès lors, sa peur se transforme en une réaction violente, traduite dans les urnes par le vote extrémiste. C'est évidemment déplorable. Mais comment combattre ce phénomène ? Il arrive un moment où rejeter celui qui a cédé à la tentation extrémiste ne sert plus à rien, et si un comportement repose sur un sentiment comme la peur, il est nécessaire de l'apaiser pour permettre le retour de ces électeurs dans le champ du républicanisme, une fois débarrassés de leur xénophobie.

D'une part, tous les comportements racistes doivent être combattus. D'autre part, il s'agit de rendre l'immigration aussi indolore que possible pour la population d'accueil. Que ceux qui deviennent français le soient complètement. La couleur de peau ne choque que le raciste, ce sont les différences culturelles qui font peur aux xénophobes. Lorsque celles ci impliquent le rejet des valeurs démocratiques, des moeurs tels que la polygamie ou les mariages forcés, ou bien l'usage d'une langue étrangère comme langue courante, l'immigré a peu de chances d'être assimilé par le reste de la population. Pour réussir l'assimilation, il faut bien évidemment commencer par le respect des lois. Dès lors, l'immigration clandestine doit être totalement combattue. D'autre part, il est attendu des futurs français qu'ils se sentent eux aussi les héritiers de la culture française. C'est en ce sens que l'expression autrefois enseignée dans les écoles, "nos ancêtres les Gaulois", avait un mérite : celui de placer chaque écolier dans le cadre d'une même tradition, que leurs ancêtres aient été gaulois ou non. Ce n'est pas une question de sang, mais plutôt d'héritage familial. En acquérant la nationalité française, l'immigré est adopté par l'ensemble de la France, qui attend de lui le sentiment filial en retour. En considérant que ses ancêtres spirituels sont bien les Gaulois, avec leurs qualités et leurs défauts, il trouvera naturellement, des frères et des cousins dans la population qui l'entoure.

mercredi 10 mai 2006

Le droit de grève et ses limites

Lors de la récente crise du CPE, on pouvait avoir des avis mitigés : d'une part connaître la logique qui a abouti à la création de ce texte, et d'autre part comprendre l'origine des craintes qu'il génère, dans le fil du débat chômage ou précarité. Mais il y a un phénomène qui est certainement discutable dans cette crise, c'est le blocage des facultés.

Les étudiants qui souhaitaient s'opposer au texte en faisant grève, c'était leur propre problème, leur propre décision. Quelles que soient leurs opinions, ils peuvent manifester pour faire connaître leur avis dans le but d'y sensibiliser la population. Mais empêcher leurs condisciples d'assister aux cours alors qu'eux souhaitaient continuer d'étudier, ce n'est pas reconnu par un quelconque texte, ce n'est en aucun cas un droit. Il faut dire que la grève repose sur un concept de démonstration de capacité de nuisance pour défendre ses intérêts. Lorsque les employeurs sont tellement concentrés qu'il se trouve une situation d'oligarchie, il est normal que les employés souhaitent se concerter et adopter une position commune, et ainsi éviter qu'ils soient trop divisés pour être automatiquement perdants. Encore faut il bien savoir vers qui cette capacité de nuisance est dirigée. Si elle l'est contre des intérêts de l'employeur, c'est en somme assez naturel. Si elle l'est contre l'ensemble de la population, soit en fait tous ceux qui n'ont aucun pouvoir dans les revendications des grévistes, c'est non seulement inutile pour leur conflit, mais aussi dommageable pour les innocents touchés.

C'est dans ce genre de cas que l'on parle de prise d'otages. Certes, il n'y a pas détention dans un cachot par des personnes armées, mais le principe est le même : le gréviste continue la grève pour nuire à un innocent, et souhaite que le pouvoir ait suffisamment pitié de l'otage pour qu'il cède à ses revendications. En fait, dans ces cas de figure, le pouvoir, c'est toujours le pouvoir public. Trop souvent, des employés du secteur public font grève pour leurs intérêts personnels, invoquant étrangement l'intérêt général alors que ce sont eux qui précisément nuisent à la population en n'assurant pas la mission qu'il leur a été confiée. Comment peut on vouloir la défense du service public lorsque pour cela, on ne l'assure justement pas ? A vrai dire, chacun comprend que les services d'intérêt généraux sont cruciaux pour le bon fonctionnement de notre société. Et l'on souhaite d'autant plus qu'ils soient assurés lorsque ceux dont c'est la mission ne le font pas pour hypocritement le défendre. Dans les services publics, libre aux grévistes donc de ne pas travailler. Mais que la tâche continue d'être faite, pour ne pas nuire à l'intérêt général. Il semble qu'il y a une loi qui empêche de remplacer un gréviste à son poste de travail. Ce ne devrait pas s'appliquer pour les services publics, justement publics de par leur nature indispensable. Et que les grévistes se rassurent, leurs employeurs continueraient bien d'être autant ennuyés, vu que faire remplacer quelqu'un au pied levé est plus difficile que de simplement mettre une pancarte "le service n'est plus assuré à cause de mouvements sociaux". Et leur pouvoir de nuisance ne serait plus dirigé contre la population. Il y a bien des situations qui devraient être examinées au cas par cas, mais tel devrait être le principe général. Les services d'intérêt général doivent être assurés, peu importent les circonstances, car leur nature l'exige.

Et pour en revenir à ceux qui les bloquent, même en en n'étant pas employés, le même principe doit prévaloir : ils ne doivent pas être interrompus. Et si quelqu'un ne souhaite pas travailler, qu'il n'oblige pas les autres à faire comme lui s'ils ne le désirent pas. Le droit de grève est un droit, mais ce n'est pas un droit de nuire à la population. L'intérêt général doit prédominer face aux intérêts catégoriels, et chacun doit être libre de se déplacer, d'apprendre, d'être soigné chaque jour comme doivent le permettre les services publics, ou ceux qui sont délégués. Pour cela, il faut davantage qu'un minuscule service minimum.

lundi 8 mai 2006

Nouvelle tentative

Après une première tentative de blog sur 20six.fr qui a failli d'une part du fait de mon ardeur limitée, d'autre part du fait du changement d'interface de ce site, rendant les choses plus compliquées, je vais essayer de voir ce que je peux faire ici. Visiblement, ce site est ouvert aux blogs politiques, c'est un signe d'encouragement. Je vais reposter mes quelques contributions de ma première tentative, en espérant qu'il y en aura d'autres. S'il n'y a pas une dizaine de contributions dans les six mois, il sera bien temps de fermer ce que j'ouvre actuellement...
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