Un parti de la loi
Par xerbias, vendredi 17 avril 2009 à 16:52 :: Pensée politique :: #415 :: rss
L'insécurité n'est pas seulement un sentiment, c'est une réalité. L'importance de la délinquance est notable, et se nourrit du manque de morale ainsi que de l'impunité. A partir de 2002, les gouvernements successifs se sont attelés à la tâche, et ont tenté de combattre la délinquance en donnant à la justice de nouveaux outils pour la combattre, plus adaptés à la délinquance actuelle. Ces lois ont été farouchement combattues par certaines associations, les accusant d'entraver la liberté des citoyens. D'une manière générale, l'Etat a toujours été suspecté d'oppresser l'individu. Dès Hobbes et Rousseau, les philosophes se sont interrogés sur le nécessaire équilibre à trouver entre liberté et normes nécessaires pour permettre de vivre ensemble.
Dans une démocratie, l'issue apparaît facilement : les lois sont créées par les représentants du peuple. Dès lors, les citoyens n'entravent pas tellement leur propre liberté en respectant les lois. Ils ne font qu'obéir à leur propre volonté. Et en matière de liberté, la première est encore de pouvoir se déplacer comme on le souhaite sans risquer de dommages pour ses biens ou soi-même. Pour éviter d'interminables violences, l'Etat doit avoir le monopole de la force. Il est hors de question que chacun ait à assurer sa propre sécurité. L'Etat doit donc faire appliquer la loi, résultant de la volonté commune, face à ceux qui s'en affranchissent. Assurer la sécurité des citoyens est même la première des missions de l'Etat, une mission régalienne qui doit être assurée avant même que ce posent celles issues de l'Etat Providence.
Les forces de police et de gendarmerie doivent donc être soutenues. "Force reste à la loi" comme on dit. C'est un principe fondamental pour une démocratie, et pour toutes sociétés. L'ensemble des parties doivent s'entendre sur ce principe fondamental, et ne pas donner de l'espace à des mouvements appelant à son non respect. Car cela ne ferait qu'exercer la volonté d'une minorité contre tous.
Dans une démocratie, l'issue apparaît facilement : les lois sont créées par les représentants du peuple. Dès lors, les citoyens n'entravent pas tellement leur propre liberté en respectant les lois. Ils ne font qu'obéir à leur propre volonté. Et en matière de liberté, la première est encore de pouvoir se déplacer comme on le souhaite sans risquer de dommages pour ses biens ou soi-même. Pour éviter d'interminables violences, l'Etat doit avoir le monopole de la force. Il est hors de question que chacun ait à assurer sa propre sécurité. L'Etat doit donc faire appliquer la loi, résultant de la volonté commune, face à ceux qui s'en affranchissent. Assurer la sécurité des citoyens est même la première des missions de l'Etat, une mission régalienne qui doit être assurée avant même que ce posent celles issues de l'Etat Providence.
Les forces de police et de gendarmerie doivent donc être soutenues. "Force reste à la loi" comme on dit. C'est un principe fondamental pour une démocratie, et pour toutes sociétés. L'ensemble des parties doivent s'entendre sur ce principe fondamental, et ne pas donner de l'espace à des mouvements appelant à son non respect. Car cela ne ferait qu'exercer la volonté d'une minorité contre tous.
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment.
Ajouter un commentaire
Les commentaires pour ce billet sont fermés.